Amid the promenaders on the grass.
Oh, ancient days! said Reblo. Ancient
days!
Oh, how my soul is theirs! and all
the ways
Their beauty casts its captivating
spell!
My comrades, it was truly good to
dwell
When man had veins where lava flows
could slip,
And avid gaze, and whim worn at the
hip!
In the hale mores of the feudal days—
Truly a virgin forest—in that maze
Les jeunes cavaliers tressaillaient quand la soie
Des manches de leur dame en passant les coudoie.
— Oh ! les anciens jours ! dit Reblo : les anciens jours !
Oh ! comme je leur suis vendu ! comme toujours
Leur puissante beauté m’ensorcèle et m’énivre !
Camarades, c’était là qu’il faisait bon vivre
Lorsqu’on avait des flots de lave dans le sang,
Du vampirisme à l’œil, des volontés au flanc !
Dans les robustes mœurs de l’ère féodale,
— Véritables forêt vierge — dans ce dédale
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